dans ma chambre pleine d'espoir,
vinrent me visiter des âmes grimoires,
ces anges immenses aux ailes de gloire...
Le ciel, dont la femme est le ventre,
les douleurs abyssales en est le centre...
je leurs parlais de ces immenses esprits,
qui ont voulus remplir ce grand vide,
cet espace fantasmagorique, translucide,
et leurs fusion fit la naissance du big-bang...
Cet hara-kiri spirituel aux élans éternels,
donna profusion de créations maternelles,
enfumé par mes angoisses métaphysique,
une matière Quantique, veine du cantique...
Les nuées de lumières, encres d'évangiles,
Des ténèbres altières, aux terres hostiles,
Un ventre aux miracles, c½ur de tabernacle,
Des Saturnales, vaisseau de grâces encéphales ...
Trous noirs, aux ventres gravitationnelles,
aux trottoirs des gagneuses traditionnelles...
Et des fois assis le long de mon lit,
ils me parlent des cieux délicieux
ou règne des airs audacieux, astucieux
ou la mort est amie et non ennemi...
Ces anges me parle de prières secrètes
que seules les étoiles saintes sécrètent,
Quand j'ai mal aux blessures humaines
ils caressent ma tête pour casser la haine,
et quand j'ai peur la nuit, de mourir,
me racontent des histoires pour rire...
Ils me murmure de claires guérisons,
dont la foi est chevillée a la raison...
Au petit matin, ils ouvrent leurs ailes,
pour aller vers des contrés irréelles,
alors tout seul, comme un enfant abandonné,
je pleure, pleure sur le ventre de ma destiné...
... LeVentreduMonde&Ulysse ...






